Les autres ETUDES menées POUR et CONTRE l'ASPARTAME ?

Publié le par sauvons notre cuisine

Certaines études viennent ajouter d’autres preuves de la nocivité de l’aspartame

 

J’ai trouvé par exemple une étude menée en Argentine par Andreatta MM et al qui tend à prouver que la consommation d’aspartame pendant une période de plus de10 ans peut être à l’origine de tumeurs cancéreuses du système urinaire.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18495230

 

Précédemment , en 2007, Huff J et LaDou ont estimé que la FDA ( Food and Drug Administration) ddevait réévaluer le risque cancérigène de l’aspartame, en se basant sur des nombreuses études qui ont toutes prouvé les effets cancérigènes du produit sur les animaux. Ils vont même plus loin, en demandant à la FDA de mener une étude épidémiologique soit menée auprès des travailleurs des usines de fabrication d’aspartame.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18085058

  

Mais d'autres études contredisent les études de la Fodation Ramazzini.

 

Il y a peu, en 2009, une étude sur l’homme ( étude sur des hommes et femmes atteints de cancers vs hommes et femmes non atteints par la maladie ) tend à prouver que les édulcorants – y compris l’aspartame – n’entrainent pas un risque accru de cancer du pancréas ou de l’estomac.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19661082

 

J’ai également trouvé une autre étude de Magnuson B et Williams GM en 2008 dont le titre est sans équivoque : « Il n’est pas prouvé que l’aspartame est cancérigène chez le rats » ( ma traduction française du titre ).

Ils font référence à l’étude de Soffritti and al en 2007 ( de la Fondation Ramazzini ), en critiquant la méthodologie utilisée pendant l’étude.

Pur eux les doses moyennes utilisées sont incorrectes, et un certain  nombre de paramètres pendant la grosses des rats ne sont pas pris en compte.

Pour ces raisons, les auteurs concluent que l’étude de Soffritti and al ne prouve pas l’aspect cancérigène de l’aspartam.

 

Une autre étude de la même équipe dirigée par Maguson B précédemment en 2007 affirmait déjà qu’il n’y avait aucun lien entre l’aspartame et le cancer dans quelque tissu du corps. Pour eux, l’aspartame est sans danger aux doses de consommation habituelles.

http://informahealthcare.com/doi/abs/10.1080/10408440701516184

 

Cependant ces 2 études de Magnuson peuvent toutefois être remise en cause du fait que les chercheurs ont été payés par l’entreprise Ajinomoto Company Inc. Qui est producteur d’aspartame.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18560494

 

En 2006, Unhee Lin and al ont tenté de prouvé par une étude prospective auprès de 285000 hommes et 188000 femmes de 50 ans à 71 ans auxquels on a administré un questionnaire sur leurs habitudes de consommation. La conclusion de cette étude est qu’il n’y a pas de lien prouvé entre l’aspartame et la cancer du cerveau, comme l’avait prouvé l’étude de Coffritti and al de la Fondation Ramazzini.

http://cebp.aacrjournals.org/content/15/9/1654.long

 

Suite à cette étude menée par Unhee Lin and al , Adrienne Samuels démonte les arguments utilisés, car l’étude ne porte que sur 1/10e de la vie des personnes, ce qui est trop peu pour évaluer correctement le risque. Elle utilise d’autres nombreux arguments contrant la métodologie et les paramètres de l'étude de Unhee Lin and al.

http://cebp.aacrjournals.org/content/16/7/1527.3.long

 

 Bientôt dans un prochain article, nous conclurons sur les risques avérés ou pas de l'aspartame....

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